La liberté par l’acceptation
Nous avons admis que nous ne pouvions rosser l’alcool avec les seules ressources qui nous restaient ; aussi, avons-nous accepté le fait, que la dépendance envers une Puissance supérieure (ne serait-ce que celle du groupe A.A.) pouvait réaliser ce qui nous avait été jusqu’ici impossible. Du moment que nous avons pu accepter ce fait, la contrainte que l’alcool exerçait sur nous s’est relâchée.
Pour la plupart d’entre nous, cette double acceptation avait demandé beaucoup d’efforts. Toute notre philosophie, basée sur la suffisance, a dû être abandonnée. Cela n’était pas dû à notre pure volonté. Ce fut plutôt le résultat de notre désir croissant « d’accepter » ces nouvelles réalités de la vie.
Nous n’avons pas fui et nous n’avons pas combattu. Mais nous avons accepté. Et alors, nous avons commencé à être libres !
Grapevine - mars 1962
Pour la plupart d’entre nous, cette double acceptation avait demandé beaucoup d’efforts. Toute notre philosophie, basée sur la suffisance, a dû être abandonnée. Cela n’était pas dû à notre pure volonté. Ce fut plutôt le résultat de notre désir croissant « d’accepter » ces nouvelles réalités de la vie.
Nous n’avons pas fui et nous n’avons pas combattu. Mais nous avons accepté. Et alors, nous avons commencé à être libres !
Grapevine - mars 1962
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire