Sur la bonne voie
Je réalise maintenant que mes anciens préjugés contre les ecclésiastiques étaient aveugles et erronés. Les gens d’église ont maintenu pendant des siècles une foi qui aurait pu entièrement disparaître. Ils m’ont montré la voie, mais je n’y ai pas pris garde. J’avais tant de préjugés, j’étais tellement centré sur moi-même. Lorsque j’ouvris les yeux, c’était parce qu’il le fallait. Et l’homme qui m’a fait entrevoir la vérité était un laïc, qui souffrait comme moi. Grâce à lui, j’ai enfin vu ; sorti de l’abîme, ayant repris pied, je me suis rendu compte que j’étais sur la bonne voie si j’étais disposé à marcher.
Lettre - 1940
Lettre - 1940
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