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samedi 18 février 2012

VIVRE SANS ALCOOL

Mais il y a une autre façon d’agir.
Vous pouvez accepter le « diagnostic », persuadé par votre médecin, vos amis, ou vous-mêmes. Vous pouvez ensuite chercher les moyens à prendre, s’il y a lieu, pour « maîtriser » la situation, de manière à ce que, tant que vous prendrez les précautions voulues, vous puissiez jouir longtemps encore d’une vie heureuse, productive et normale. Vous reconnaissez pleinement la gravité de votre état et vous prenez les moyens nécessaires pour conserver une vie saine.
Dans le cas de l’alcoolisme, cette méthode est particulièrement facile à appliquer si vous voulez vraiment demeurer en bonne santé. Et puisque nous, membres des AA, avons si bien appris à profiter de la vie, nous tenons vraiment à rester en bonne santé.
Nous tâchons de ne jamais oublier le caractère permanent de notre alcoolisme mais nous évitons de nous laisser abattre, de nous apitoyer ou d’en parler continuellement. Nous l’acceptons comme une caractéristique de notre organisme, au même titre que notre taille, ou le besoin de porter des lunettes, ou pour une quelconque allergie.

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