Le
seul temps dont nous disposons pour être bon envers nous-mêmes, c’est
maintenant. Et si nous ne l’utilisons pas, comment pouvons-nous attendre des
autres le respect et la considération que nous ne nous donnons pas nous-mêmes.
Nous
avons découvert que, abstinents, nous pouvions apprécier les mêmes bonnes
choses que lorsque nous buvions, en beaucoup, beaucoup d’autres encore. Avec un
peu de pratique, les dividendes finissent par surpasser l’effort consenti. Ce n’est
pas de l’égoïsme que d’agir ainsi : c’est de l’autoprotection. Il est
impossible de devenir une personne généreuse, honnête et socialement
responsable à moins de chérir d’abord son propre rétablissement.
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