1.
En cas de doute, consulter un
médecin expérimenté dans le traitement de l’alcoolisme.
2.
Ne rien cacher de son alcoolisme à
son médecin ou dentiste. L’information demeurera confidentielle et s’avèrera
des plus précieuses pour le professionnel
3.
Prévenir immédiatement son médecin
si un médicament prescrit provoque des effets secondaires.
4.
Envisager de consulter ailleurs si
son médecin refuse ou omet de tenir compte de la vulnérabilité particulière des
alcooliques aux sédatifs, tranquillisants ou stimulants.
5.
Remettre à son médecin un exemplaire
de cette brochure (Le membre des AA face aux médicaments et à la drogue)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire