La plupart d'entre nous avaient un travail. En dépit de cela, il restait encore de nombreuses minutes, voire de nombreuses heures inoccupées. Il nous a fallu adopter de nouvelles habitudes pour remplir ces moments vides et employer l'énergie nerveuse autrefois monopolisée par notre préoccupation ou obsession de boire.
dimanche 26 octobre 2014
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