« Bien entendu, j’ai dit que j’accepterais
volontiers, bien qu’à cette époque j’en connusse très peu sur la boisson, pas
beaucoup sur l’alcoolisme et absolument rien sur AA. J’avais été à des
« parties » vu des gens se saouler, mais jamais comme dans « du
Vin et des Roses ». Je savais que les AA existaient mais je n’avais aucune
idée de ce qu’ils faisaient. Je l’expliquais à Jim Miller (l’auteur du
scénario) qui me demanda si j’aimerais aller à une réunion AA.
« Tout le monde », me dit
Jim, « peut assister aux réunions ouvertes ». J’étais un peu nerveuse
à l’idée d’y aller parce que je pensais que, d’une façon ou d’une autre, ce
devait être laid et sordide … J’avais à l’esprit l’image du pauvre type couché
dans l’encoignure d’une porte. Mais Jim Miller me donna rendez-vous le lundi
soir à Manhattan, au coin de la Soixantième rue et du Parc.
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