4. Lorsqu’il
s’agit d’une visite à domicile, séparez dans la mesure du possible le demandeur
des membres de sa famille (pour eux, suggérez leur Al-Anon). Vous pourriez être déstabilisés par
trop d’interventions intempestives au sujet du « mauvais garçon ».
Apprenez de membres AA plus expérimentés comment vous en tirer avec la famille
ou les proches qui sont présents et quand il est plus sage de se retirer que de
rester.
5. Suggérez
une cure de désintoxication – ou de rétablissement – si vous pensez que c’est
nécessaire. Si une telle solution s’imposait, arrangez-vous avec la famille ou
les proches, de préférence en accord avec le demandeur. S’il y a de la violence
dans l’air, quittez les lieux. Si nécessaire, donnez le coup de fil adéquat.
6. Faites
part de votre expérience (de votre parcours de pratiquant). Ne lui faites pas la morale, ne lui
donnez pas un cours et gardez-vous d’utiliser le terme d’
« alcoolique » à son égard. Se reconnaître alcoolique est une décision
personnelle, de même que se débarrasser de l’alcool qu’il garde sous la main.
Détaillez vos propres symptômes, vos habitudes de buveur et les autres
expériences vécues durant votre période pratiquante.
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