Nous devons d’abord faire provision
de patience et nous préparer à l’action en nous connaissant bien.
Souvenons-nous également combien nous aussi étions opposés à tout secours.
Admettre ce constat est déjà un apprentissage salutaire.
Ensuite donnons à l’alcoolique le
temps nécessaire d’adopter une attitude positive vis-à-vis de la boisson.
Personne ne peut briser la résistance de l’alcoolique, mais cette inertie a
conduit à la rechute bien des personnes qui cherchaient à en sauver d’autres.
Ne devrait-on pas se donner la peine
de chercher s’il a le désir d’arrêter de boire ? Combien de fois ne
réveille-t-on pas la résistance de l’alcoolique par des paroles inadéquates ?
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