Au contraire, infailliblement, nous buvions jusqu’à dépasser cette mesure pour ensuite aboutir dans quelque pétrin. Il pouvait simplement s’agir d’un malaise intérieur, d’une vague suspicion concernant notre abus possible d’alcool, mais aussi de querelles conjugales, de problèmes d’emploi, de maladies ou d’accidents graves, d’ennuis légaux ou financiers. En conséquence, lorsqu’on nous offre un verre, nous essayons maintenant de nous rappeler toute la kyrielle des conséquences déclenchées par « un seul verre ». Nous poursuivons cette vision jusqu’au bout, jusqu’à notre dernière et misérable cuite et ses malaises du lendemain.
mercredi 18 mars 2015
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