Accueil AA France AA Belgique AA Québec AA Suisse romande

dimanche 13 février 2011

Point de vue de Bill : page 43

L’anonymat, mais jusqu’où ?

En règle générale, le nouveau venu voulait que sa famille sache immédiatement ce qu’il essayait de faire. Il voulait aussi le dire à d’autres personnes qui avaient tenté de l’aider : médecin, religieux et amis intimes. A mesure qu’il reprenait confiance, il lui semblait juste d’expliquer son nouveau mode de vie à son employeur et à ses collègues. Quand l’occasion de se rendre utile se présentait, il se rendait compte qu’il pouvait parler facilement du mouvement des A.A. à presque n’importe qui.
Ces révélations, sereinement exprimées, l’aidaient à échapper à la peur du stigmate de l’alcoolisme et répandaient la nouvelle de l’existence des A.A. dans son entourage. Plusieurs membres, hommes ou femmes, ont rejoint des A.A. à la suite de semblables conversations. Du moment que ce n’est qu’au niveau de l’information publique que l’anonymat doit être respecté, de telles révélations restaient bien dans l’esprit de l’anonymat.
Douze Traditions ( 12ème tradition )


Aucun commentaire: