Cela veut dire : une bonne éducation convenablement présentée. Jusqu’à ce jour, l’éducation s’est attaquée en majeure partie à l’immoralité de l’alcoolisme en tant que maladie.
Alors qui va entreprendre cette éducation ?
Evidemment, c’est à la fois l’affaire de la communauté et celle des spécialistes. Nous, les A.A., pouvons y contribuer individuellement. Mais l’association des A.A., comme telle, ne peut ni ne doit y être impliquée directement. C’est pourquoi nous devons nous en remettre à d’autres organismes, à nos amis de l’extérieur et à la bonne volonté qu’ils manifestent en consacrant à cette cause beaucoup d’argent et d’efforts.
Grapevine - 1958