Une conversation salutaire
Lorsque nous consultons un ami, membre des A.A., nous ne devons pas hésiter à lui rappeler la nécessité d’observer la plus grande discrétion. En général, nous, les A.A., nous nous laissons aller, entre nous, à des confidences intimes, si librement et si facilement, qu’un conseiller peut parfois oublier que nous désirons qu’il garde le silence. La confidence, la meilleure des relations humaines, a droit à une protection sacrée ; le secret ne devrait jamais être violé. Ces relations privilégiées ont un avantage inestimable. Nous y trouvons a plus belle occasion d’être aussi honnêtes que possible. Nous n’avons pas besoin de craindre, alors, de blesser certaines condamnations. Ici, encore, nous avons la meilleure chance possible de déceler les illusions.
Grapevine - août 1961
mercredi 13 avril 2011
Point de vue de Bill : page 102
à
07:07
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire