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lundi 23 janvier 2012

VIVRE SANS ALCOOL

Elle nous paraissait en outre inutilement rigoureuse. Comment aurions-nous pu vivre de la sorte ? Assurément il n’y avait aucun mal à prendre un verre ou deux pendant un repas d’affaire ou avant le dîner Chacun n’a-t-il pas le droit de se détendre en buvant un peu d’alcool, ou d’avaler quelques bières avant d’aller au lit ?
Cependant après avoir assimilé quelques notions sur cette maladie appelée l’alcoolisme, nous avons changé d’avis. Nos yeux se sont ouverts sur le fait que des millions de personnes souffrent anormalement de ce mal. La science médicale n’en explique pas l’origine, mais les médecins spécialisés nous assurent que n’importe quelle boisson alcoolisée attire des ennuis à l’alcoolique ou au buveur à problèmes. Et notre expérience confirme de manière éclatante cette opinion.
Il s’ensuit que le fait de ne pas boire du tout – c’est-à-dire de rester sobre – constitue le seul point de départ pour se rétablir de l’alcoolisme. Et soulignons-le en insistant une fois de plus : il apparaît que vivre sobre ne rend nullement sévère et ennuyeux, ni ne met mal à l’aise, ainsi que nous l’avons craint, mais plonge plutôt dans un état dont nous commençons à profiter et que nous jugeons beaucoup plus passionnant que nos jours de beuverie. Nous allons vous le montrer.

2 commentaires:

ameli a dit…

Dans un état de dépendance, le concerné ne sait plus si être sobre plus ennuyeux que boire de l'alcool. C'est plutot psychologique.

AA francophonie a dit…

Arrivé à un certaine niveau, le malade alcoolique ne peut plus faire avec l'alcoool, mais ne peut pas non plus faire sans ...