On
a supposé qu’il pouvait exister une réaction chimique subtile non définie entre
l’alcool et les changements physiologiques provoqués par la colère. Une étude
expérimentale sur les alcooliques a révélé que les ressentiments peuvent
provoquer sur le système sanguin une condition inconfortable, qu’une cuite
pouvait dissiper. Un psychologue éminent a récemment émis l’hypothèse que les
buveurs semblent aimer l’impression de pouvoir et de domination ressentie sous
l’influence de l’alcool.
On
a publié des données sur les liens étroits qui existent entre l’usage de l’alcool
d’un part, et les attentats et homicides d’autre part. Dans certains pays, il
semble que bon nombre de ces crimes surviennent alors que, soit la victime,
soit le criminel (ou parfois les deux) se trouvent sous l’influence de l’alcool.
Les viols, les querelles de ménage conduisant au divorce, les sévices sur les
enfants, les vols à main armée, sont souvent commis au seuil de l’ivresse
avancée.
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