Beaucoup
sont cependant certains qu’il est très néfaste pour l’équilibre émotif de contenir
la colère. A moins d’extérioriser notre agressivité d’une façon ou d’une autre,
elle nous empoisonnera intérieurement en nous contrant sur nous-même, nous
conduisant ainsi à une profonde dépression.
La
colère tous soutes ses formes est un problème humain universel. Mais elle
représente une menace particulière pour les alcooliques. Notre propre colère peut
nous tuer. Les alcooliques rétablis conviennent presqu’unanimement que l’hostilité,
la rancune ou le ressentiment provoquent en nous le désir de boire et nous
imposent l’obligation d’être vigilants. Pour les apprivoiser, nous connaissons
des moyens bien plus appropriés que l’alcool.
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