Au
contraire, infailliblement, nous buvions jusqu’à dépasser cette mesure pour
ensuite aboutir dans quelque pétrin. Il pouvait simplement s’agir d’un malaise
intérieur, d’une vague suspicion
concernant notre abus possible d’alcool, mais aussi de querelles conjugales, de
problèmes d’emploi, de maladies ou d’accidents graves, d’ennuis légaux ou
financiers.
En
conséquence, lorsqu’on nous offre un verre, nous essayons maintenant de nous
rappeler toute la kyrielle des conséquences déclenchées par « un seul
verre ». Nous poursuivons cette vision jusqu’au bout, jusqu’à notre
dernière et misérable cuite et ses malaises du lendemain.
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