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SE MEFIER DES OCCASIONS DE BOIRE
Nous
avons trouvé plusieurs façons de ne pas boire lorsque les circonstances nous
mettent en présence de gens qui consomment de l’alcool.
Au
huitième chapitre, nous avons traité du bien-fondé de garder ou non de l’alcool
à la maison après avoir décidé d’arrêter de boire. Nous avons alors reconnu que
nous vivons dans une société fortement alcoolisée et que nous ne pouvons pas, en
toute objectivité, espérer que cela change. Toute notre vie, il se présentera
des occasions de boire et des réclames à la douzaine nous incitant, même
verbalement, à consommer de l’alcool.
Nous
ne pouvons nous soustraite à toutes ces suggestions et il ne sert à rien de se
plaindre. Nous n’éprouvons ni le besoin ni le désir d’empêcher les autres de
boire. Nous avons aussi découvert qu’il n’est pas nécessaire de nous priver de
l’agréable compagnie de nos amis non alcooliques qui consomment de l’alcool.
Bien qu’au tout début de notre sobriété, il soit prudent de fréquenter des
abstinents plutôt que des consommateurs d’alcool, nous n’avons aucunement l’intention de nous retirer du monde à tout
jamais parce que tant des personnes boivent. Les personnes allergiques au
poisson, aux noix, au porc ou aux fraises ne se réfugient pas pour autant dans
des cavernes. Pourquoi devrions-nous le faire ?
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