Bob P., conseiller du Bureau des Services
Généraux de AA, fit référence à ce point particulier en 1986 :
« Si la Fraternité venait à trébucher ou à fauter, ce ne serait pas suite
à des évènements extérieurs. Non, ce ne serait la faute ni des centres de cure,
ni des professionnels sur le terrain, ni de littérature non approuvée, ni des
jeunes, ni de ceux qui souffrent de double dépendance, ni même de toxicomanes
qui tenteraient d’investir nos réunions fermées. Si nous nous centrons sur nos
Traditions et si nous gardons l’esprit et le cœur ouverts, nous pourrons faire
face à tous les problèmes que nous rencontrons ou que nous rencontrerons. S’il
nous arrive de nous tromper ou de faillir, ce sera tout simplement parce que
nous n’aurons pas su contrôler nos egos ou que nous n’aurons pas manifesté
suffisamment de bonne volonté les uns envers les autres. Ce sera par excès de
crainte et de rigidité, et par manque de confiance et de bon sens. »
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