Si l'alcool nous affectait trop, nous réduisions notre consommation ou tentions de nous limiter à un verre ou deux, ou encore de substituer les alcools forts à la bière ou au vin. Nous tâchions au moins de limiter la quantité, de manière à ne pas nous soûler de façon catastrophique. Enfin, nous nous efforcions de dissimuler la quantité consommée. Mais toutes ces précautions devenaient de plus en plus difficiles. De temps à autre, nous nous imposions même un régime sec et cessions complètement de boire pour un certain temps.
samedi 6 septembre 2014
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