J’ai eu tellement de chance :
Je n’ai pas eu besoin d’aller voir par moi-même si ce que j’entends si souvent
est vrai, à savoir qu’arrêter de participer aux réunions mène toujours des
alcooliques comme moi au même point. Nous finissons par reboire.
Au début de mon abstinence, je me
trouvais dans un bar avec une amie (qui boit mais n’est pas alcoolique) à qui
je venais juste d’expliquer que j’étais alcoolique. Elle m’avait dit que cela
ne pouvait pas être vrai puisque je n’avais pas bu depuis dix semaines. Et bien
sûr, à ce moment précis, elle était la seule personne que je voulais entendre.
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