Mais être dépressif, c’est avoir
cette fatigué collée à la peau, jour après jour, mois après mois, m’endormant
avec elle, me réveillant avec elle.
Les sensations décrites dans le « Big
Book » (4è édition – page 170) :
« … le brouillard glacial de la
solitude s’abattait sur nous, de plus en plus dense, de plus en plus sombre. »
et page 59 : « Nous avions des
difficultés dans nos relations personnelles, nous ne pouvions pas contrôler notre
émotivité, nous étions en proie à la tristesse morbide et à la dépression, mais
nous étions incapables de gagner notre vie, nous ne trouvions aucun but à l’existence,
nous étions habités par la crainte. »
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