Anticipant
de telles occasions, l’alcoolique nouvellement abstinent se demande quoi
répondre si des amis ou des parents l’apostrophent ainsi :
« Allons prendre un verre. »
« Que bois-tu ? »
« Quoi, tu ne peux pas être
alcoolique ! »
« Tu ne bois pas ? »
« Un seul verre ne peut faire de tort. »
« Pourquoi ne bois-tu pas ? »
A
notre grand soulagement, nous avons constaté que ces questions se posent bien
moins souvent que nous le l’appréhendions et nos réponses semblent ne pas avoir
autant d’importante que nous l’imaginons. Notre abstinence soulève moins d’émoi
que nous l’aurions cru.
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