Le septième
jour, je lui ai de nouveau rendu visite. Passant devant sa chambre, j’ai remarqué
qu’on l’avait détaché et que les tubes intraveineux avaient été enlevés. J’étais
fou de joie ; il allait s’en tirer ! Le médecin et l’infirmière ont
anéanti mes espoirs. Mon ami « s’en allait » très vite.
Après avoir
pris les dispositions pour faire venir sa femme, j’ai pensé qu’étant
catholique, certains rites religieux devaient être observés. Nous étions dans
un hôpital catholique, alors j’ai cherché et trouvé une religieuse (la mère
supérieure, à ce que j’appris plus tard). Elle a demandé un prêtre et, avec une
autre religieuse, m’a raccompagné à la chambre.
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